PAR ADRIEN H. ROMILUS
J’ai lu le nouveau recueil de poésie du diplomate journaliste haïtien Maguet Delva, il ne faut pas se perdre dans des atermoiements sans fin, pour qualifier ce travail ample de plus de 150 poèmes, de quoi faire deux recueils. Il faut dire que l’homme a toujours pratiqué une générosité sans bornes. Ce généreux escogriffe payait régulièrement pour des étudiants sans le sous que nous étions à Paris. Je le revois encore nous demandant avec beaucoup d’humanités comment vivions nous?